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cette societe - c'est la notre !

QATAR…ATTATA !

par Claire Sibille

publié dans Cette société - c'est la notre ! , Des livres profonds ... comme une psychothérapie !

QATAR…ATTATA !

Face à la contagion émotionnelle, portez un masque …

 

Oubliés le délire écologique et social de la coupe du monde au Qatar, oubliés les 3600 ouvriers esclaves morts, la France est en demi-finale.

QATAR… ATTATA !

Je n’en suis pas à pleurer avec Neymar parce que le Brésil a été éjecté de la compétition, mais presque. Comme le dit la ministre en pleine dissonance cognitive : « On a dit ce qu’on avait à dire (ah bon ?), maintenant, PLACE AU SPORT ! ». Et je doute que notre cher président aille sur la fosse commune des ouvriers pendant sa présence au quart de finale mercredi soir. Mais sait-on jamais ?

Inutile de dire qu’au quotidien, je me fiche complétement du football, sauf pour en traiter les conséquences négatives en terme d’exclusion et de violence chez mes petits patients. Ou positives quand il s’agit du seul moment de complicité père-fils (fille, une fois) de la semaine.

Mais.

Il se trouve que je me surprends à ne plus éteindre la radio quand France Inter annonce les résultats des matchs. Ça a un peu commencé aux 8èmes de finale et s’est aggravé aux quarts.

Ce phénomène bizarre a un nom, la contagion émotionnelle. Elle s’inscrit dans notre toute petite enfance, dans cette communication corps à corps et émotion à émotion que nous avions avec notre mère ou la personne qui jouait ce rôle. C’est la base de l’Attachement. Elle permet la réalité partagée, et, dans son meilleur, elle renforce notre humanité grâce à l’empathie qui en découle. Je dis qu’elle renforce notre humanité, même si les bonobos et les poules sont beaucoup plus doués que nous dans ce registre. C’est pour cela que cette contagion émotionnelle est très critiquée par les rationalistes. Ils en concluent souvent que l’émotion est la femme à abattre, la part d’animalité qu’il nous faut éradiquer. Elle est en effet à la base de tous les phénomènes de foule qui empêchent de réfléchir, raisonnablement selon eux, et d’éviter les dérives extrémistes. Ces grands penseurs ne se rendent pas compte à quel point leur soi-disant raison est imprégnée d’émotions, d’autant plus dangereuses qu’elles sont pour la plupart tapies comme des araignées au fond des placards où ils les ont refoulées.

À la base, la contagion émotionnelle et la réalité partagée sont donc de remarquables mécanismes de survie qui permettent aux parents de sentir les besoins de leur tout petit et à celui-ci de comprendre très vite ce qui va faire réagir maman et papa (ou assimilés), en bien comme en mal. Elle nous a fait absorber la dépression maternelle et la colère paternelle, ou l’inverse, en même temps que nos premières bouillies. Ainsi que toute une lignée de traumatismes transmis par le corps et les émotions, et malheureusement rarement la parole, de génération en génération. Mais elle marche aussi dans l’autre sens, et il n’y a pas plus contagieux que la joie partagée. La victoire du Maroc, très audible et visible, m’a fait appuyer deux fois sur le klaxon et saluer des personnes inconnues dans les bouchons qui s’accumulaient.

Noël approche. S’il y a un moment familial où la contagion émotionnelle fait fureur c’est bien celui-là. Nous espérons toujours le meilleur pour parfois tomber sur le pire. Déjà les cadeaux. Sans parler du consumérisme, ils sont rarement adaptés, sauf pour les tout-petits, parfois, et finissent pour la plupart sur le Bon Coin ou Vinted avant le Nouvel An. Souvent insatisfaisants quand on les reçoit, ils sont pourtant incontournables, sauf grandes négociations bien avant la date. S’ils sont absents, ils deviennent blessants. Bref, un casse-tête, car le cadeau ou son absence est souvent pris comme le reflet de l’importance que la personne concernée vous accorde, et de sa capacité à comprendre vos besoins et désirs.

Les repas de famille, qui se multiplient à cette période, sont souvent un haut lieu de toxicité familiale. Le terme de contagion émotionnelle n’est pas pris au hasard. Les relations toxiques, ne désignons pas les personnes, sont aussi contagieuses que le COVID et bien plus nocives sur le long terme. Alors portez un masque ! Inutile d’aborder les sujets qui fâchent à la fin du repas, protégez-vous. Le meilleur masque étant le sourire, les bonobos connaissent bien cette stratégie.

Mais à Noël, le tout petit à l’intérieur de nous, avec ses besoins d’affection et de reconnaissance, prend toute la place. Comme je l’ai expliqué dans un précédent article, il symbolise la renaissance de la lumière au solstice d’hiver, où, dans la nuit la plus longue, le jour recommence à croître. Il symbolise aussi le vivant en nous. Il est précieux. Devant la fragilité de cette renaissance, de cette vie qui cherche à exister avec fureur quel que soit le contexte, il faut être prudent. À Noël, les émotions sont à vif, souvent, et la contagion émotionnelle au plus haut, tant les souvenirs et les espoirs se mélangent. Dans d’autres articles (chercher « Noël » dans mon blog), j’ai raconté quelques séances particulièrement difficiles autour de ce moment chargé, pour cause de deuils ou de ruptures familiales, de solitude. La contagion émotionnelle peut alors jouer un rôle positif, que ce soit ou non en regardant France-Maroc mercredi soir. Elle peut nous faire sentir qu’au-delà de notre illusion de séparativité, nous sommes tous reliés. Les vieillards de Noël, le Père Noël ou Saint Nicolas chez nous, viennent prendre soin de notre enfant intérieur. Vous pouvez d’ailleurs sans problème les féminiser, ils ne vous en voudront pas.

L’important est de sentir leur chaleur protéger le vivant en vous, fragile comme la lumière de la bougie, fort comme le jour qui renaît.

 

 

 

 

 

QATAR...ATTATA !!!!!!

QATAR...ATTATA !!!!!!

Dernière minute : j’ai rêvé vendredi que la France gagnait 2/1 ou 2/0 je ne me rappelle plus ! C’est vraiment une preuve… de la contagion émotionnelle vu l’intérêt que j’y porte !

ET SI MALGRÉ TOUT VOUS FAITES ENCORE DES CADEAUX, À DES PERSONNES QUI AIMENT ENCORE LIRE...

Un roman qui a du sens, à offrir à Noël ou avant, ou après...

Un roman qui a du sens, à offrir à Noël ou avant, ou après...

Dernier commentaire reçu (8/12/22) :

"Je suis en pleine lecture de votre roman « Inventaires" et je tiens à dire que je suis très touchée par cette histoire d'héritage transgénérationnel pour ces trois femmes et que j'aime beaucoup la sensibilité et la générosité de votre plume. Vous abordez tant de sujets ! J’ai particulier ressenti la forte sensibilité à l’écologie, au respect du vivant.
Je ne pouvais pas attendre la fin pour vous faire part de mon enthousiasme.
Bravo !"

Nadia, auteure

https://www.instagram.com/nadiabourgeoisauteure/

 

 

Extrait : Jeanne est la grand-mère de la lignée des trois femmes qui sont les héroïnes du roman.

" Mais l’hiver fait peur à Jeanne. Un fleuve le charriant des blocs de glace. Une succession de minutes gelées qu’elle doit traverser. Il commence dès le mois de novembre avec sa pluie glaciale, dévorante, si pénétrante qu’elle réveille les morts au fond de leur cachette, les tire de leur refuge. Dans leur colère d’être dérangés, ils viennent encore une fois la hanter. Ils lui parlent de tous ces deuils qu’elle pas menés à terme, tous ces silences et ces pertes brutales qui jalonnent sa vie. Jeanne lutte comme elle peut contre la noirceur qui l’attaque de plein fouet dès la Toussaint. En regardant les dernières feuilles accrochées aux branches lâcher enfin prise, danser dans le vent puis se battre au sol pour trouver une place à l’atterrissage, une place pour mourir en paix, elle voit les fantômes qui viennent lui sucer tout envie de vivre, ces esprits affamés aspirant le moindre plaisir oublié dans un coin.

Avant, quand elle avait encore quelques envies, quelques projets, elle s’imaginait, comme tant de gens de son âge, se réfugier pendant ces tristes mois qui s’étirent interminablement de novembre à avril dans un proche pays du Sud. Le Portugal peut-être ? Mais elle aurait eu l’impression de fuir. Et puis il y a Noël. Noël au soleil est encore plus triste que novembre sous la pluie. Un noël devenu solitaire, dont elle ne comprend pas très bien comment il peut encore survivre à la destruction de la famille. Mais quelle qu’en soit la raison, la petite lumière du solstice d’hiver continue encore et toujours à lui réchauffer le cœur, une vraie petite fille aux allumettes ".

 

Un livre pour après les fêtes...

Un livre pour après les fêtes...

Ce livre met en évidence les liens entre la nourriture et les émotions, un bon thème pour Noël !

Extraits adaptés à la période :

"Aujourd’hui le jeûne fait partie de mes incontournables au même titre que la montagne au printemps, la mer en été et le sapin de Noël. Et une seule motivation a pris le pas sur toutes les autres : le sentiment profond et paradoxal de liberté et de lien que le jeûne me procure".

" Le jeûne n’est pas d’une grande nouveauté, tant sur le plan des habitudes culturelles et religieuses, que dans son utilisation comme thérapie, mot utilisé ici au sens étymologique de prendre soin du vivant, ainsi que de remède en cas de maladie déclarée.
Soigner sa vie, soigner la vie, voilà une bonne motivation, bien en lien avec les enjeux actuels. Et bien en lien avec de nombreux rites atemporels.
Si nous les dégageons de leur habit religieux ponctuel pour les relier au cycle de la Nature et des saisons, certaines fêtes comme Carême et le Mardi-Gras nous parlent d’un rapport à la nourriture qui peut être beaucoup plus créatif que les trois ou quatre repas par jour imposés par la modernité. Et quels repas ! J’entends encore ma fille me décrire un repas de la cantine : « tu comprends maman c’était des carottes de la cantine, pas des VRAIES carottes » !

Bombance un jour, jeûne un autre, dans ce calendrier vital notre corps, au lieu de s’appesantir année après année ou de se rigidifier dans l’absence de jouissance, va nous apprendre à alterner les plaisirs du plein, de l’abondance, les Mardis Gras, et ceux du manque, les jours de Carême qui aiguisent les sens et l’esprit, et nous permettent ainsi le moment du repas revenu, de faire gras avec plus maigre, et de meilleure qualité".

 

 

Un livre pour comprendre et accompagner les traumatismes de l'enfance et de l'adolescence.

Un livre pour comprendre et accompagner les traumatismes de l'enfance et de l'adolescence.

Mes nouvelles parlent souvent de Noël, car elle parlent d'enfances...

Extraits :

Nouvelle : "Un appétit d'ogre", sur les troubles alimentaires compulsifs de l'adolescence.

"Au début de sa vie, quand Bastien arrivait le jour de Noël ou de Pâques en déclarant, devant la table familiale dégoulinante, Je vais tout manger, il suscitait des rires attendris.

L’âge venant, toute une stratégie se développa pour l’empêcher de réaliser son vœu.

Les derniers Noëls en famille, qui remontent déjà à trois ans, ressemblaient à des repas de hyènes".

Nouvelle : "Urgence", sur le viol.

"Elle arrive ainsi à retourner chez ses parents pour Noël. Quand elle était petite, en particulier le soir du réveillon, Maman se surpassait à la cuisine. Papa décorait toute la maison avec elle. Mais pour ce Noël là, peut-être le Noël de trop, elle se sent comme la petite fille aux allumettes qui dégueulerait ses tripes devant une boutique de foie gras".

"La maison est décorée comme chaque année, Papa et Maman font tout pour avoir l’air heureux, mais quelque chose sonne faux. Les guirlandes lui apparaissent pour ce qu’elles sont, de vieux serpents à plumes qui en ont perdu la moitié au fil des ans, les boules écaillées, les étoiles tordues, la crèche incomplète, il manque l’âne et le bœuf. Eh oui, tu les as pris un jour pour jouer à la ferme et on ne les a jamais retrouvés, dit Papa en riant. Mais son rire grince un peu. Maman chante dans la cuisine où elle prépare la dinde pour demain pendant que Papa ouvre les huîtres. Mais sa voix est éraillée. Le vieux CD de chants de Noël qu’elle connaît par cœur passe en boucle Minuit, chrétiens, Douce Nuit, Petit Papa Noël et sa préférée Entre le bœuf et l’âne gris. Mais à dors, dors, dors mon tout petit, le disque saute. Il est vieux, dit Maman, après tout il a ton âge !".

Ou trouver mes livres ?

Partout ! Et quelques commentaires et feuilletage possible :

Inventaires : https://livre.fnac.com/a16609205/Claire-Sibille-Inventaires

Juste un (très) mauvais moment à passer : https://amzn.eu/d/5arVdbh 

Le Jeûne, une thérapie des émotions : https://amzn.eu/d/9Xwaowx

 

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Envie de vivre ! ?

par Claire Sibille

publié dans La psychothérapie - de quoi ça parle , Cette société - c'est la notre ! , Des livres profonds ... comme une psychothérapie ! , Ecothérapie , Fiction

Envie de vivre ! ?

(Lire la présentation du salon par le responsable et mes commentaires après la photo)

L’envie de vivre, c’est le sujet du Salon du Livre de Pau, Les idées mènent le monde, où je serai présente pour la première fois avec mes trois livres édités, le samedi 19 novembre de 14h à 19h sur le stand de la librairie L’Escampette, au Palais Beaumont, salle Henri Faisans.

Pour la psychothérapeute et écrivaine éco-féministe que je suis c’est un thème parfait, mais qui demande des précisions.

En effet, je pense que la première fonction du thérapeute est de soutenir le vivant. Mais le terme « Envie de vivre » contient une ambiguïté certaine pas toujours compatible avec cette idée de soutenir la vie dans son ensemble. Car aucun doute que les prédateurs, les dictateurs, les sociopathes et les multinationales ont une sacrée « Envie de vivre ! ».

Nous allons donc prendre l’option d’une envie de vivre qui inclut l’existence de l’autre différent comme un élément fondamental de cette vie, que cet autre soit animal humain ou non humain, végétal ou minéral. C’est en tous cas ce que je vous propose dans une interprétation complexe de la théorie de l’Attachement, théorie dont Boris Cyrulnik a fait la base de sa notion de résilience, cette capacité à reprendre un développement vital après un traumatisme.

Pour le résumer en quelques mots, l’Attachement nous parle de ces liens, premiers mais pas que, ces liens intimes et engagés qui créent, quand ils sont adaptés, une suffisante sécurité intérieure pour pouvoir grandir puis mûrir avec les autres. Car l’Attachement nous dit que l’individu n’existe pas sans les autres, et je rajouterai le tout autre, la nature, le vivant. Nous ne sommes pas seuls et notre existence même est la preuve quotidienne de cette intelligence de l’univers.

Mais souvent les traumatismes, les ruptures relationnelles, les deuils, mais aussi, et de plus en plus la situation de crise majeure, et vitale, que traverse l’humanité atteint profondément cette conscience empathique de l’autre et le désir de vivre ensemble, voir tout simplement l’instinct de survie. Chez chacun de nous, mais déjà chez les enfants et les adolescents, ce qui est une des tragédies de notre société.  Suicide immédiat ou différé grâce aux addictions et à la malbouffe, repli identitaire, survie à n’importe quel prix, négation de l’autre et du commun, les troubles de notre société sont sans fin qui nous amènent vers le « suicide collectif » dont parle Antonio Guttérès, le secrétaire général de l’ONU quand même, à l’ouverture de la COP 27. Comme le dit un des intervenants du salon, Olivier Bessy, dans une belle formule : La vie se transforme en maladie identitaire chronique. L’Eldorado des psys ! mais bien plus encore des marchands de rêves, en particulier numériques, car ils permettent d’éviter le contact avec le réel.

Une des réactions compréhensibles est de s’identifier aux monstres, de s’en nourrir. Les tueurs en série et les zombies font fureur sur nos chaînes de streaming. Malheureusement ils envahissent aussi les actualités, au propre comme au figuré. Une autre, à l’opposé, consiste à fuir dans des paradis artificiels, que ce soit des romances à l’eau de rose et des frénésies consuméristes, ou des substances tout aussi addictives mais encore plus toxiques. Ces deux faces d’une même réalité, celle du déni, font obstacle aux changements nécessaires. Comme dans le superbe dessin animé Wall-E, sorti en 2008, qui n’a non seulement pas pris une ride mais devient de plus en plus proche de notre réalité, beaucoup d’entre nous sont figés devant leur écran nourris à la malbouffe, pendant que d’autres survivent sur les déchets des premiers.

Le film se termine bien, et donne de nombreuses clés pour retrouver l’envie de vivre… avec les autres, tous les autres.

Claire Sibille

Psychothérapeute et écrivaine

18/11/22

 

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Voici la présentation du commissaire général du salon. Je ne suis pas d’accord avec tout, en particulier sur sa perception de la natalité et le jugement qu'il émet sur les couples qui font un autre choix ! Il y a de multiples façons d’être parent et suffisamment d’enfants qui ont besoin d’une famille, mais il y a aussi de multiples façons de participer au monde, pour ne pas avoir d'enfant biologique si on n’en ressent pas l’envie…

Mais bon, ça vous met dans le contexte, et pour le reste, je vous donne RV samedi 19 novembre de 14h à 19h sur le stand de la librairie L’Escampette, au Palais Beaumont, salle Henri Faisans, au salon du livre.

 

La guerre fait rage en Ukraine. Une pandémie vient de paralyser la planète et n’est pas totalement contrôlée. La menace d’une catastrophe climatique rôde. L’inflation galopante et les risques de récession inquiètent. Pour couronner le tout, les citoyens s’éloignent chaque jour un peu plus de la politique et font de moins en moins confiance aux élus pour régler les problèmes. À l’écoute des bruits du monde, l’espérance d’un avenir meilleur pourrait sembler déraisonnable. Au point qu’apparait un symptôme encore inédit en France, y compris lors des périodes les plus sombres : une étude récente montre qu’un tiers des femmes françaises en âge de procréer déclare ne pas avoir l’intention de donner la vie. Faut-il alors craindre que la confiance en la vie, le désir même de vivre en soient affaiblis ? Si dans son histoire, l’humanité est responsable et coupable de nombreux malheurs, la même humanité a, au cours des siècles, conçu, imaginé, dessiné, bâti et réalisé les merveilles dans tous les domaines qui nous permettent de vivre aujourd’hui.
Qui peut espérer, imaginer que le monde puisse retrouver un meilleur futur si manquent les femmes et les hommes pour l’imaginer et le mettre en place ?
Le désir de vivre est la condition absolue, la seule chance pour qu’un jour, le monde aille mieux qu’aujourd’hui. Chaque naissance, chaque nouvel enfant est une promesse dont le monde ne peut se priver. Et la trahison de l’espérance est un crime contre l’humanité́.
De tout cela, il sera question à Pau les vendredi, samedi et dimanche 18,19 et 20 novembre prochains. Soyons au rendez-vous.

Philippe Lapousterle Commissaire général

 

RV samedi 19 novembre de 14h à 19h sur le stand de la librairie L’Escampette, au Palais Beaumont, salle Henri Faisans.RV samedi 19 novembre de 14h à 19h sur le stand de la librairie L’Escampette, au Palais Beaumont, salle Henri Faisans.RV samedi 19 novembre de 14h à 19h sur le stand de la librairie L’Escampette, au Palais Beaumont, salle Henri Faisans.

RV samedi 19 novembre de 14h à 19h sur le stand de la librairie L’Escampette, au Palais Beaumont, salle Henri Faisans.

Mes trois livres présents, qui tous traite de l'envie de vivre avec les autres, en commençant par prendre soin de soi et de ses émotions (Le Jeûne, une thérapie des émotions ?), de nos enfants et adolescents en souffrance (Juste un (très) mauvais moment à passer), de nos liens familiaux et de la planète (Inventaires).

 

"Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres". Antonio Gramsci (1891-1937, philosophe politique). Photo prise à Lasseube, devant chez moi. Merci. La gratitude donne envie de vivre.

"Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres". Antonio Gramsci (1891-1937, philosophe politique). Photo prise à Lasseube, devant chez moi. Merci. La gratitude donne envie de vivre.

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